Ce livre blanc déborde de conseils et d’astuces pour surmonter les périodes de pointe dans votre entreprise.
Des vergers remplis de pommes et de poires prêtes à être récoltées, un centre de distribution logistique où des milliers de cadeaux de fin d’année commandés en ligne attendent d’être envoyés aux clients, ou encore des terrasses surpeuplées en bord de mer ou en ville… Les pics saisonniers de production ou de service sont un phénomène familier dans de nombreux secteurs.
Les périodes de pointe peuvent souvent être planifiées et anticipées par l’entreprise ou l’organisation, mais elles peuvent aussi survenir de manière inattendue, par exemple lorsque plusieurs membres du personnel permanent tombent malades en même temps.
Voulez-vous aussi savoir comment vous armer contre ces moments d’intense activité ? Téléchargez notre livre blanc et découvrez 5 façons de faire face aux pics d’activité saisonniers.
Le travail saisonnier est une forme de travail qui se termine automatiquement à la fin de la saison.
Le nombre de jours de travail saisonnier pour l’agriculture et la culture du lin sera de 60 en 2022. Pour tous les secteurs de production de l’horticulture, le nombre de jours de travail saisonnier est fixé à 100 jours. Le nombre limite de jours autorisés diffère d’un sous-secteur à l’autre.
Un employeur doit demander une carte de cueillette pour chaque travailleur saisonnier. Il s’agit d’un formulaire occasionnel officiel permettant de comptabiliser le nombre de jours autorisés dans le secteur.
L’employeur peut s’adresser au Fonds social et de garantie pour l’agriculture et l’horticulture. Seul le premier employeur du travailleur saisonnier doit en faire la demande.
Les saisonniers qui ne travaillent que temporairement dans notre pays, et qui y réalisent moins de 75 % de leurs prestations, bénéficient d’un précompte professionnel de 18,725 %. Ce précompte s’applique également à d’autres revenus tels que la prime de fin d’année et la prime de fidélité versées par le Fonds social.
Si un saisonnier effectue 75 % ou plus de ses prestations en Belgique, le précompte professionnel reste fixé à 11,11 %. Ce groupe de travailleurs saisonniers est tenu de remplir une déclaration d’impôt et peut potentiellement récupérer une partie du précompte.